Nicolas Meyers : héritier discret du groupe L’Oréal

Qui est vraiment Nicolas Meyers ? Ce que j’ai appris en creusant

Vous êtes peut-être comme moi : vous avez déjà entendu le nom Nicolas Meyers, sans forcément savoir qui il est ni ce qu’il fait. Alors je me suis penché sur son parcours, curieux de comprendre le rôle de cet homme souvent évoqué comme “l’héritier discret de L’Oréal”. Ce que j’ai découvert est à la fois classique, étonnant et, je dois dire, assez inspirant. Si vous aimez les figures silencieuses mais influentes, vous allez être servis.

Un héritier de l’ombre… et de la fortune

Nicolas Meyers n’est pas un nom que vous verrez en une des journaux people. Pourtant, il est l’un des héritiers de la famille Bettencourt, l’une des plus riches de France, liée depuis des générations à l’empire L’Oréal. Sa mère, Françoise Bettencourt Meyers, est l’actionnaire principale du géant des cosmétiques. Son grand-père, André Bettencourt, a été ministre ; son arrière-grand-père, Eugène Schueller, a fondé L’Oréal.

Autant dire que Nicolas est né au cœur d’une dynastie. Mais au lieu d’embrasser les projecteurs, il a choisi un chemin plus feutré, plus distant. Je trouve cela intéressant, surtout à notre époque, où tant d’héritiers jouent la carte de la notoriété à tout prix.

Une implication sérieuse dans les affaires familiales

Ce que j’ai trouvé particulièrement cohérent, c’est la manière dont il s’est investi dans la gouvernance de L’Oréal, sans précipitation, mais avec constance. Depuis 2020, il siège au Conseil d’Administration du groupe. Et ce n’est pas symbolique : il participe activement aux Comités d’Audit, là où se discutent les chiffres, les risques, les décisions lourdes.

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[featured_image size="large" class="custom-class"] En parallèle, il est aussi très impliqué dans Téthys, la holding familiale. Il en est membre du conseil de surveillance depuis 2011, ainsi que de Téthys Invest, un fonds destiné à soutenir des entreprises innovantes. Cela montre, à mon sens, une forme de sérieux, presque cartésien, loin des clichés qu’on pourrait avoir sur “les enfants de milliardaires”.

La philanthropie dans les gènes

Un autre point que je veux partager avec vous, c’est son rôle dans la Fondation Bettencourt Schueller. Là aussi, il ne fait pas de vagues, mais il est administrateur depuis 2012. Cette fondation, vous la connaissez peut-être : elle soutient des projets dans les sciences, l’art et la solidarité, en France comme à l’international.

Je trouve ça admirable. Non pas parce qu’il donne – c’est facile quand on est riche – mais parce qu’il s’investit dans une logique de transmission, d’engagement sur le long terme. On est loin de la philanthropie “vitrine”.

Un homme que vous ne verrez pas sur Instagram

Ce que j’apprécie, dans ce parcours, c’est la cohérence. Nicolas Meyers cultive une discrétion rare. Aucune interview en solo, aucune conférence TED, aucun compte officiel sur les réseaux sociaux. Il fait le choix du retrait. Et ce choix-là, je le trouve puissant. Parce qu’il laisse parler ses actes plutôt que son image.

Dans un monde où tout est communication, son silence devient presque une forme d’élégance. Vous ne trouvez pas ?

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